Adonis au pays de Salsepareil

Quand je parcours tes vers joliment cadencés,
Je suis, mon cher X…, au pays des merveilles.
Leur chant mélodieux plait tant à mes oreilles
Que, nouveau lapin blanc, je ne vois plus passer

Le temps. Sur leurs chemins je trottine, pressé
D’en découvrir les su-btilités nonpareilles
Et mon intelligence ainsi flattée s’éveille
Comme fleur au soleil venant la caresser.

Quand tu fais résonner les accords de ta lyre,
Je suis semblable au Chat dont le large sourire,
Quartier de lune étrange, illumine le ciel.

Puissent-ils conserver leurs ineffables charmes
Car s’ils perdaient un jour ce qui en fait le miel
Je me noierais parmi la mare de mes larmes…

Nettement exagéré mais ça fait toujours plaisir alors je vous renvoie la pareille, cher amystérieux !